Table ronde – Handicap psychique, travail et protection sociale

Vendredi 7 novembre, la Fondation Trajets a eu l’honneur d’être représentée par Nicolas J. Rebetez, Co-Directeur général chargé du secteur entrepreneurial, lors d’une table ronde organisée par le Pôle Berenstein de l’Université de Genève.Cette rencontre, placée au cœur des enjeux d’insertion et de protection sociale, a réuni plusieurs acteurs majeurs du canton autour d’un sujet essentiel : la place du travail pour les personnes vivant avec un handicap psychique.

Autour de la table :

• Vincent Delorme, Responsable de l’insertion socioprofessionnelle, Pôle insertion OAIS – Département de la cohésion sociale (DCS)

• Magali Ginet Babel, Directrice générale, Établissements publics pour l’intégration (EPI)

• Yves Reymond, Chef de service, Hospice général

• Nicolas J. Rebetez, Co-Directeur général chargé du secteur entrepreneurial, Fondation Trajets

Des questions au cœur de l’inclusion

Les échanges ont permis d’aborder des thématiques fondamentales :

• Comment rendre effectif le droit au travail pour les personnes vivant avec un handicap psychique ?

• Quelles adaptations mettre en place au sein des institutions, entreprises et structures d’insertion ?

• Comment concilier santé mentale, emploi et inclusion durable ?

Une vision partagée : le travail comme levier d’émancipation

À Trajets, nous affirmons chaque jour que l’accès au travail dépasse la seule dimension économique.

C’est une question de dignité, de reconnaissance, d’appartenance.

Nos équipes s’engagent à offrir des environnements professionnels adaptés, exigeants et bienveillants, permettant à chacun de retrouver confiance, rythme et sens dans son parcours.

Construire l’inclusion ensemble

L’inclusion n’est pas une idée abstraite : c’est un travail concret et quotidien.Il nécessite une coordination étroite entre acteurs publics, monde académique, entreprises et structures d’insertion.

Cet événement a démontré, une fois de plus, l’importance de ce dialogue pour faire avancer les pratiques et renforcer les collaborations.

Un grand merci à l’Université de Genève et au Pôle Berenstein pour cette initiative qui relie recherche, terrain et action publique, et contribue à faire progresser l’inclusion dans notre canton.